Dernier jour - China Town

29 Décembre 2013 , Rédigé par Sam&Moi

Pour cette dernière journée, l'envie de voir China Town était bien présente malgré l'avis plutôt négatif d'une touriste l'ayant déjà visitée. Nous montons dans le premier taxi boat qui passe pour nous retrouver 20 minutes plus tard dans la fourmilière qu'est ChinaTown. C'est non seulement un lieu où nous retrouvons tous les restaurants habituels chinois dans lesquels il est possible de manger tout ce qui est connu (ou pas) mais surtout un marché sur lequel tout y est vendu. Du kiwi confit à la télécommande pour toute TV en passant par la boussole dernier cris, des foies de volaille séchés, bonsaïs, tuyaux au mètre, viagra, des gadgets, thé, faux passeports, tripes... Vraiment de tout. Nous comptions passer 2 heures dans cet lieu et nous y sommes resté 5. Pas pour le viagra hein petit malin, mais nous sommes aussi allé voir un Bouddha en or massif de 5,5 tonnes dans la Wat Traïmit. Ce Bouddha est la plus grande statue en or au monde. de quoi en faire rêver plus d'un. Une bonne découverte est le royal India référencé dans le Lonely Planete, resto indien qui nous change un peu de la nourriture thaï. Arrive enfin un moment épique lorsque nous devons traverser une voie à 4 bandes aux heures de pointe. Nous regardons le trafic passer à toute allure devant nos yeux en nous demandant s'il est réellement possible d'arriver de l'autre côté de la rue. On marche pour trouver un passage clouté en se disant que ce sera plus facile. Mais tu rêves mon petit gars, c'est comme si ce passage était un hallucination pour nous car personne ne fait attention aux piétons dans ce pays. Marie se lance et je la regarde comme un bon gros benêt sans bouger. Il me faudra 10 bonnes minutes pour passer de l'autre coté. Elle se moquant de moi de l'autre côté. La fin du voyage est malheureusement là. Il est temps d'aller se préparer pour passer notre dernière soirée dans l'effervescence qu'est KhaoSan. Une dernière Chang dans le gosier à écouter un jeune Thaï reprendre le tubes de Bob Marley. Difficile de partir...